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plein temps (temps plein), les programmer par heure et date (Schedule), ou ceux activés par PTT, en
définissant une heure de déconnexion ou manuellement. Les modèles varient en nombre de répéteurs,
5, 15, 30 et 50. Ils prennent également en charge plus de 100 connexions du centre de contrôle entre
cBridge.
Le cBridge prend également en charge l'option audio externe vers DMR via une clé USB URI analogique
en option et un module vocodeur pouvant être connecté aux radios ou aux contrôleurs de répéteurs.
http://dmkeng.com/Products.htm

Brandmeister est un autre réseau d'interconnexions qui prend en charge une variété de répéteurs de
différentes marques commerciales, répéteurs artisanaux ou faits maison et HOT-Spots. Ce réseau
comporte plus de 44 serveurs interconnectés dans un énorme réseau étendu dans le monde entier. Il
donne la possibilité aux utilisateurs de répéteurs et hotspots de configurer des TG fixes à temps plein et
d'autres en mode temporaire ou en déconnexion manuelle.
https://brandmeister.network/
DMR + est un autre réseau qui prend en charge les répéteurs et les points d'accès Motorola et Hytera.

SmartPTT est un produit commercial qui prend en charge la création de réseaux de répéteurs Mototrbo.
Il offre des options de trading haut de gamme.
HBlink est un autre système DMR que tout radioamateur peut mettre en place pour relier répéteurs,
nœuds et hotspots dans un très bon réseau privé stable et de bonnes performances. Il donne également
accès au lien avec les TG de Brandmeister ou d'autres systèmes HBlink. De plus en plus de réseaux
mettent en œuvre ce système.

Radios DMR

Aujourd'hui, il existe de nombreux vendeurs de radios DMR, notamment pour la radio amateur. Les
répéteurs DMR commerciaux sont disponibles auprès de divers revendeurs. Renseignez-vous auprès
d'autres radioamateurs ou consultez les sites Web des fournisseurs.

On peut également trouver des équipements neufs et d'occasion sur des sites d'enchères en ligne.
Que faut-il garder à l'esprit lors de l'achat d'équipement : neuf ou d'occasion ?
Les appareils d'occasion peuvent présenter des problèmes et nécessiter des outils de réparation et de
test qui peuvent coûter extrêmement cher, en dehors des techniques, des connaissances et des
compétences requises. Le coût d'un appareil neuf est compris entre 100 et 800 euros. Vous pouvez
également acheter certains modèles pour moins de 100 €. Les marques Motorola, Kenwood ou Hytera
d’occasion peuvent coûter beaucoup plus cher qu'une radio neuve d'une nouvelle marque. Vous payez
généralement ce que vous obtenez, les radios plus chères ont de meilleures propriétés, sont plus
robustes et de meilleure qualité de construction et de conception. Kenwood propose une gamme de
radios prenant en charge DMR NXDN, P25 et analogique en VHF, UHF ou 900 MHz. L’UHF est la bande la
plus utilisée en DMR, mais pour des raisons d’utilisation de radars ou de certaines fréquences de
services publics utilisé sur la bande UHF au Canada, le DMR est autorisé uniquement en VHF dans
certaines régions. L'activité DMR peut être trouvée dans la plupart des zones dans l'un des groupes. Aux
États-Unis, il existe des répéteurs DMR fonctionnant dans les fréquences 902-928 MHz. Seul Motorola a
des radios qui peuvent être modifiées pour fonctionner à ces fréquences. Si vous achetez une radio UHF,
assurez-vous qu'elle prend en charge les fréquences radioamateur.

Aujourd'hui, il existe des radios bibandes chez divers fabricants.

Logiciel de programmation.
La plupart des fabricants fournissent un logiciel de programmation gratuit avec la radio. Motorola
facture 150 dollars le logiciel qui couvre tous ses modèles, avec un abonnement de 3 ans et prise en
charge de mises à jour.
Les radios DMR sont à l'origine concentrées sur un marché professionnel, elles ne peuvent donc pas être
programmées à partir du clavier de la radio.
Ne commettez pas l'erreur de demander à un ami de vous donner le logiciel gratuitement si cela n’est
pas autorisé. Si un ami a déjà payé le logiciel, il peut programmer votre radio sans frais mais il n’a pas le
droit de distribuer le logiciel. Le piratage de logiciels est illégal et n'en vaut pas la peine.