Page 31 - Antennes_hf2
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4  Le sol « moyen » par défaut d'EZNEC possède une conductivité de 0,005 S/m et une constante diélectrique
              relative de 13. Vos services municipaux peuvent disposer des valeurs correspondant à votre emplacement,
              ce qui peut améliorer la précision de la modélisation de votre antenne.
             5  H Yagi et S. Uda, « Projector of the Sharpest Beam of Electric Waves, » Institute of Electrical Engineering,
              Proceedings of the Imperial Academy of Japan, Jan. 1926.
              Vous pouvez contacter le rédacteur de cet article de QST, Joel Hallas, à w1zr@arrl.org
             Figure 1 - Configuration d'une antenne colinéaire verticale à deux éléments montés à une demi-longueur d'onde
             au-dessus d'un sol type, les deux éléments étant alimentés en phase.
             Figure 2 - Diagramme en élévation de l'antenne colinéaire verticale à deux éléments d'une demi-longueur d'onde
             de la figure 1 (en noir), auquel est superposé le diagramme d'un simple dipôle centré à la même hauteur (en rouge)
             Figure 3 - Diagramme de rayonnement en azimut d'une antenne colinéaire horizontale à deux éléments d'un
             quart de longueur d'onde à une demi-longueur d'onde au-dessus d'un sol moyen (en noir), auquel est superposé
             le diagramme d'un simple dipôle centré à la même hauteur (en rouge). Dans les deux cas, l'angle d'élévation
             choisi est celui de la crête de la forme d'onde en élévation (28°).
             Figure 4 - Schéma de deux dipôles verticaux d'une demi-longueur d'onde alimentés avec la même phase et positionnés
             à un quart de longueur d'onde au-dessus d'un sol moyen.
             Figure 5 - Le tracé en noir représente le diagramme en azimut du réseau à deux éléments de la figure 4 à
             l'angle d'élévation de crête (14°). On notera qu'en remplacement du diagramme en azimut omnidirectionnel d'un
             simple élément ou d'une colinéaire verticale, nous avons maintenant un diagramme directionnel qui favorise la
             direction de rayonnement transversal, avec un zéro sur l'axe des éléments. Si l'on inverse la phase d'un élément
             (180°), le diagramme se transforme en celui d'un réseau à rayonnement longitudinal, comme représenté par le
             tracé en rouge.
             Figure 6 - Schéma d'un réseau horizontal à deux éléments constitué d'éléments dipôles espacés d'un quart de
             longueur d'onde, le signal appliqué à l'élément avant présentant un retard de phase de (-90°). Le résultat est le
             diagramme largement unidirectionnel représenté sur la figure 7.
             Figure 7 - Diagramme en azimut de l'antenne de la figure 6. Bien que le gain de ce réseau soit supérieur de 10,4 dB
             par rapport à l'énergie rayonnée de façon isotrope, le gain par rapport à un dipôle au même emplacement est
             d'environ +3 dB.
             Figure 8 - Réseau parasite HF horizontal à trois éléments, conçu pour occuper le même espace que le réseau de
             la figure 6. Comme indiqué sur la figure 9, il possède un gain supérieur vers l'avant et une réjection améliorée
             vers l'arrière par rapport à l'antenne de la figure 6.
             Figure 9 - Diagramme en azimut de l'antenne de la figure 8. Bien que le gain de ce réseau soit supérieur de 12 dB
             par rapport à l'énergie rayonnée de façon isotrope, le gain par rapport à un dipôle au même emplacement est
             d'environ + 4,5 dB.










































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