Page 28 - Propagation_antenne_adaptation
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L'avantage de cette approche est de pouvoir calculer facile-                'JHVSF O
        ment le diagramme de rayonnement vertical pour tous les
        Wd]b[i Z _dY_Z[dY[$ ;nWc_dedi bW \_]kh[ *$
                             'JHVSF O




















                                                              GkWdZ b Wdj[dd[ [ij fheY^[ Zk hƒ\b[Yj[kh" [bb[ j[dZ } \ehc[h
                                                              une ligne avec son image et sa résistance de rayonnement
        Le champ au point R est la combinaison du champ de l'an-  devient très faible. Plus elle s'éloigne du réflecteur, et plus ses
        tenne par le trajet r et celui de l'image par le trajet r + ∆r.   caractéristiques se rapprochent des siennes en espace libre,
        Fekh Y[ Z[hd_[h" _b \Wkj h[jhWdY^[h kd Zƒf^WiW][ ƒ]Wb } '.&– !
                                                              avec des ondulations dépendant de la phase relative de l'onde
         ),& »h%h   ceZkbe ),& $ Fekh _3&–" ∆r est égal à zéro quelle
                                                              réfléchie.
        que soit la hauteur h, entraînant un champ lointain nul.
        En fonction de la hauteur de l'antenne, nous obtenons les dia-  Deki  fekledi  Yedi_Zƒh[h  gk[  b _cfƒZWdY[  Z[  b Wdj[dd[  [ij
        grammes verticaux de la figure 5.                     égale à la sienne en espace libre plus une impédance mu-
                                                              tuelle dont la valeur décroît avec la hauteur en changeant ré-
                             'JHVSF O
                                                                                (5)
                                                              gulièrement de signe  .
                                                              Important  : jusqu'à présent, nous avons considéré un plan
                                                              réflecteur parfaitement conducteur. C'est une vue de l'esprit.
                                                              Deki  [nWc_d[hedi  fheY^W_d[c[dj  Y[  gk[  Y[bW  Z[l_[dj  Wl[Y
                                                              un sol réel.
                                                              :Wdi b[ fheY^W_d  9ecc[dj ‚W cWhY^[ " deki l[hhedi b[ YWi
                                                              de l'antenne verticale et celui des antennes mixtes.

                                                              La Rubrique "Comment ça marche" est une activité col-
                                                              lective du radio-club F6KRK (http://www.f6krk.org).
                                                              Pour une correspondance technique concernant cette ru-
                                                              brique : "f5nb@orange.fr".
        Pour des hauteurs intermédiaires, les diagrammes sont une
        combinaison des diagrammes adjacents. Le gain au maxi des   Notes.
        lobes diminue progressivement avec la hauteur de réflexion.   1) Le champ E est nul au niveau du réflecteur.
                                                    (3)
        7 kd[ ^Wkj[kh Z[ bWcXZW" _b d [ij fbki gk[ Z[ + Z8Z  .  2) Noter que l'onde réfléchie a une période de retard.
        Deki Wledi cW_dj[dWdj b [nfb_YWj_ed Zk ]W_d ikffbƒc[djW_h[   3) Cela s'explique si l'on considère que le flux du vecteur de
        Z[ ) Z8 0 _b [ij Wc[dƒ fWh bW Z_h[Yj_l_jƒ l[hj_YWb[ gk_ [ij Wk]#  Poynting diminue comme le carré de la distance.
                          *
        mentée de deux fois  .
                                                              Plus le trajet de l'onde réfléchie augmente, et plus le flux ré-
                                                              fléchi diminue par rapport au flux direct.
        *NQnEBODF NVUVFMMF                                    4) La puissance contenue dans les lobes de la fig. 5 est la moitié
        En nous référant à la fig. 3, l'impédance de l'antenne réelle   de la (demi) puissance isotrope.
        i[hW _d\bk[dYƒ[ fWh b[ hWoedd[c[dj h[‚k Z[ b Wdj[dd[ _cW][
                                                              5) Il s'agit d'une impédance complexe.
        (en réalité son propre rayonnement réfléchi), d'autant plus   On remarquera que les changements de signe de la partie
        que sa hauteur h sera petite devant lambda. Exemple sur la   réelle correspondent aux extrema de la partie réactive.
        \_]kh[ , fekh bW XWdZ[ Z[i (&c$









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