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BIBLIOGRAPHIE
          Je ne citerai que les articles publiés dans Radio-REF dont je me souviens. Nous avons les « Comment ça marche ? » sur les
          circuits réactifs :
            l Ceux sur la mesure des impédances parus de juillet à octobre 2014.
            l Ceux sur l’adaptation parus de janvier à mai 2016.
          Puis les articles concernant la boîte de filtres de F6AJL, parus de janvier à mars 2016.
          Ces articles sont égalemement téléchargeables sur le blog de F6KRK (blog.f6krk.org) dans les catégories « Buletins/Gazettes »
          puis « Comment ça marche » ou « Articles membres » puis « F5NB ».
          NOTES
          (1)  J’ai choisi ces valeurs que je considère comme l’un des pires cas pour un ROS de 20.
          (2)  Nous sommes ici dans un cas « idéal » d’adaptation où l’impédance ramenée par la boîte d’adaptation est égale
             à l’impédance conjuguée de la source. Dans ce cas, nous avons un rendement de 50 %. C’est le cas de l’antenne où
             la tension à vide à ses bornes est égale au champ électrique (V/m) du champ E-M multiplié par la hauteur effective
             de l’antenne (m). Mais la tension aux bornes de la partie réelle de la charge n’est que la moitié de la tension à vide.
             Elle est égale au champ E multiplié par la hauteur efficace de l’antenne. Ainsi quand l’antenne est parfaitement adaptée,
             sa hauteur efficace est la moitié de sa hauteur effective. Noter que dans le cas de l’antenne, la puissance non trans-
             mise est re-rayonnée, moins les pertes, évidemment. Dans le cas où c’est l’émetteur qui est la source, on ne peut pas
             se permettre d’avoir un rendement d’adaptation de 50 %. Celui-ci sera de 100 % pour une source ayant une résistance
             interne nulle (source de tension parfaite) ou une résistance interne infinie (source de courant parfaite).
            Alors l’adaptation consistera à présenter une impédance de charge à l’émetteur égale à son impédance de charge
            optimale, pour que l’émetteur travaille dans les meilleures conditions pour son rendement et sa sécurité. La seule différence
            émission/réception dans ces conditions idéales (Ri=0 ou ∞) se retrouverait dans la bande passante du système anten-
            naire (comprenant la boîte d’adaptation) qui serait deux fois plus large en réception, comme nous le verrons plus loin.
          (3)  P = V²/R. Ainsi 0,5² / 500 = 0,158111² / 50.
          (4)  Le coefficient de surtension Q n’est conforme à son nom que pour un circuit oscillant parallèle. Pour un circuit série,
            il s’agit en réalité d’un coefficient de « surcourant ». Ce courant qui semble provenir de nulle part est en fait le courant
            que s’échangent le condensateur et la bobine, grâce à une énergie stockée dans le circuit au démarrage du système.
            L’énergie transmise met donc un certain temps à s’établir puis à s’évacuer à l’arrêt du système.
          (5)  C’est la bande passante qui est multipliée par deux, le Q du circuit restant inchangé. La bande passante du système
            dépend de la résistance interne de la source. Elle est comprise entre F/Q pour une source de tension pure ou une source
            de courant pure et 2F/Q pour une source adaptée comme ici.
          (6)  Pour une impédance d’antenne de 5Ω -j5Ω, nous obtenons un Q du circuit de 0,632. Or avec une source adaptée,
            la bande passante mesurée correspond à un Q de 0,554. La différence est maintenant de 14 %. De fait, pour être complet,
            il faut tenir compte aussi de la différence de phase entre les courants qui s’écarte (diminution) d’autant plus de 180°
            que le Q est faible.
          (7)  Excepté que pour garder le rapport de transformation de la version asymétrique, il faut maintenant bobiner quatre
             tours pour l’enroulement commun (L3 et L4).
          (8)  La différence n’est que de 0,3 % pour la fréquence d’accord. Elle serait plus importante si nous avions des coefficients
            de couplage plus faibles (ici K=0,9999)
          (9)  Inutile de vouloir à tout prix adapter des impédances extrêmes. Si le problème se rencontre, par exemple avec une antenne
            Lévy particulière, alors il sufira sans doute de modifier la longueur de la ligne de quelques dizaines de centimètres
            pour entrer dans la plage d’adaptation de la boîte. Par ailleurs, se souvenir que si une ligne a une perte de 1 dB quand
            elle est correctement adaptée, un ROS de 200 côté charge est ramené à un ROS de 10 au niveau de la boîte d’adap-
            tation, ce qui simplifie beaucoup son travail ! D’une manière générale, les pertes sont les amies du ROS (et du circuit
            d’adaptation).
          (10)  C’est normal puisque la boîte d’adaptation est un circuit passif, donc réversible.
          (11)  J’ai baissé la fréquence et le ROS pour être moins sensible aux éléments parasites lors des mesures.
             Par ailleurs j’ai réalisé la version asymétrique B de la figure 11 pour simplifier, mais on a vu que la version symétrique
             avait un fonctionnement identique à cette version (mêmes Lacc et Cacc).
          (12)  On le pourrait, mais cela complique sérieusement le schéma.



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